Suite au passage de l’ouragan Maria aux Antilles, les exploitations de Guadeloupe et Martinique ont été sévèrement touchées.
Le bananier n’est pas un arbre mais une herbe géante. Très fragiles, les bananeraies n’ont pas pu résister aux fortes rafales de vent, atteignant parfois les 260km/h !
100% de pertes sont à déplorer en Guadeloupe et 70% en Martinique.
Le faible volume de bananes françaises restant sera commercialisé en magasins, entouré d’un ruban bleu blanc rouge. Le retour de toute la production est prévu au Printemps 2018.
Face à la gravité de la situation, la filière met en place toutes les actions nécessaires pour soutenir les producteurs et leurs salariés.
Il s’agit d’un nouveau défi à relever.
Nous vous tiendrons régulièrement informés du travail réalisé en plantation et des efforts faits par les équipes pour que vous puissiez rapidement retrouver votre banane préférée.
j’adore les Antilles et je voudrais vraiment que le tourisme se developpe davantage et y retourner sans les risques insecurite du a la drogue et au chomage. En Guadeloupe, vous devriez developper davantage les eaux du volcan et organiser des cures . Ne laissez pas perdre les recettes de cuisine antillaise, c’est delicieux !
cette personne a entièrement raison.
Il existait un centre de cure à Saint Claude, disparu ? ? ?
Nous partons chaque année en cure pour des raisons rhumatismales en Métropole et nous dirions de suite » Banco » si cela pouvais se faire à Saint Claude ou ailleurs en Guadeloupe.
Nous sommes des adeptes de la Guadeloupe et y retournons cette année pour la quinzième fois.
Vous avez un tel potentiel énorme à développer, mais il est vrai qu’il faut de la bonne volonté, des mains et l’envie d’y arriver . . .
Mais comme on dit chez vous : pani pwoblèm, retroussez vos manches et vous concrétiserez vos ambitions ! ! !
Bonne chance . . .
On a toujours la banane, mais l’ouragan, lui, ne l’a plus… Vive la banane !